Repas de semaine

A peine rentré du travail, je senti la bonne odeur qui avait envahit la maison. J'étais un peu suspicieux je l'avoue. Mais il me fallait l'admettre, Bella savait cuisiner mieux que moi. Morose, je m'avançais dans la cuisine.

- Bella ! Ca sent très bon. Comment s'est passée ta journée ?

Il me demandais si j'avais passer une bonne journée. Je ne voulais pas aborder ce sujet sinon je devrais lui mentir et je déteste cela.

-Merci Papa ! Steack et Spaghettis ! Si cela te vas ? Alors tu as passer une bonne journée ?

J'esperais qu'il est oublié sa deuxieme question et qu'il serait absorber à m'expliquer sa journée.

Elle évitait ma question ! Pourquoi ?

-Euh... bien sûr que ça me va !

J'avalais goulument quelques spaghettis avant de poursuivre :

- C'était plutôt calme aujourd'hui. Tu t'es fais de nouveaux amis chérie ?

Mon père ne voulais pas oublier ma journée comme moi je ne pouvais oublier Edward cullen.

- Bien ma journée, c'est bien passé. Et oui j'ai de nouveaux amis : Mike, Jessica, Eric ... enfin toute la bande !

Pitié qu'il me croit, je ne voulais pas en dire plus et je ne voulais pas aborder le sujet Edward Cullen avec lui.

Je sentais qu'elle me cachait quelque chose mais décidais d'abandonner.

- Ah bien bien. Mike Newton ? Ses parents tiennent un magasain de sport à l'entrée de la ville ! Les affaires marchent avec le nombre de randonneurs dans les parages ! Tu as rencontré d'autres personnes ?

Il me demandais si j'avais rencontrer d'autres personnes ? Cela ne faisais que quelques jours que j'étais là alors que j'ai déjà des connaissances étais déjà bien pour moi !

-Papa, je ne suis ici que depuis quelques jours laisse moi le temps de connaitre des personnes !

Qu'es que je risqué si je lui posée cette question ? probablement rien.

-Dit papa tu connais les Cullen ?

-"Les Cullen ? Bien sur que je les connais ! Carlisle est un exellent chirurgien ! Et on a de la chance de l'avoir dans notre ville ! C'est un homme très courageux ! Il a adopté 5 enfants !"

Pourquoi Bella me posait-elle cette question ?

Il me regardais comme si je lui avais dit que je partais vivre seule à tombouktou : il était surpris.

- Ils ... Leurs enfants ... sont un peu spéciaux. Ils n'ont pas l'air d'etre vraiment intégrés, au lycée.

Charlie réagit d'une façon qui me pris au dépourvu, il étais en colère.

- Ah les gens d'ici ! Le docteur Cullen est un exellent chirurgien qui pourrait travailler dans nimporte quel hôpital et gagner dix fois plus ! Nous avons de la chance de l'avoir et que sa femme accepte de vivre dans une petite ville !
C'est un grand atout pour notre communauté, et leurs gamins sont bien élevés et polis. A leur arrivée, j'avais des doutes.
Des adolescents adoptés... Mais ils se sont révélés très mûrs, ils ne m'ont pas donné l'ombre d'un souci. Je ne peux pas en dire autant d'autres gosses qui vivent dans la région depuis des générations. En plus ils sont très unis, un exemple pour nous tous. Ils partent camper un week-end sur deux... Mais parce que ce sont des étrangers, les habitants du cru se sentent obligés de cancaner.

Ouahh ! Mon père n'avait jamais autant parler. Je voyais qu'ils n'aimaient pas les racontars. Je fis machine arriere !

- Oh, ils ne m'ont pas semblé antipathiques. C'est juste qu'ils ne se mélangent pas. Ils sont drolement beaux ! Ja voulais me montrer positive.

-Tu verrais le docteur, plaisantai-je, apaisé.
Heureusement qu'il est heureux en ménage. Les infirmières ont du mal à se concentrer sur leur boulot quand il est dans les parages.

Après ce que Charlie m'avait dit. Je ne voulais pas relancer le sujet.

Le diner finit dans le silence. Charlie débarrassa la table et moi je fit la vaisselle. Il retourna dans la salon et moi, une fois la vaisselle finit, je regagna ma chambre, pas très exiter à l'idée de faire mes maths.

Les journées passaient et la routine s'installait.
Belle n'était pas très bavarde et je ne savais pas vraiment comme elle s'intégrait au lycée.